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Bruno Hourcade, ancien grand champion des 12 coups de midi, s'introduit partout à la télévision en cette fin 2025. Avant le prime time spécial du jeu de TF1 pour Noël, le voilà dans Pandore avec Olivier Minne sur M6 à partir de ce lundi 22 décembre 2025. Un jeu dans lequel il est le seul visage connu du public...
Bruno Hourcade s’est imposé comme une figure emblématique, affable et stratège, du paysage des jeux télévisés français grâce à un parcours ponctué de records qui a passionné les téléspectateurs. Originaire de Fontenilles, il a explosé les compteurs dans Les 12 coups de midi sur TF1 en 2021 : il y a accumulé 252 participations et plus d’un million d’euros de gains, faisant de lui l’un des plus grands champions de l’histoire des jeux télévisés en France, avant les scores fracassants d'Émilien dans le divertissement de Jean-Luc Reichmann. Après ce succès retentissant, il a poursuivi sa carrière à l’écran dans plusieurs autres émissions comme Le Quiz des champions ou Les Traîtres sur M6. Il a aussi été vu et entendu dans la nouvelle version de Ça se discute présentée par Estelle Denis dans le cadre dans un épisode sur l'argent et le bonheur. "Je considère avoir un rapport assez sain avec l'argent. Je ne fais pas de folies. La manière dont je dépense mon argent est alignée avec mes valeurs donc je n'ai pas de problème à en parler", analysait-il auprès de Télé-Loisirs en novembre 2025. Le voilà aussi de retour sur M6 dans le nouveau jeu d’aventure, Pandore, tourné en Andalousie et incarné par Olivier Minne.
"Moi qui voulais me la jouer discret…" : Bruno (Les 12 coups de midi) reconnu sur le tournage de Pandore d'Olivier Minne
L'émission inédite réunit douze candidats anonymes, âgés de 21 à 72 ans, plongés dans un univers directement inspiré de la mythologie grecque, de Méduse à Prométhée en passant par le cheval de Troie. À l’issue de chaque épisode, deux participants se retrouvent en danger d’élimination. Pour espérer se maintenir dans la compétition, ils doivent remporter une épreuve leur donnant accès à la boîte de Pandore. Celle-ci renferme un buste à leur effigie, qu’ils peuvent choisir d’échanger contre celui d’un autre joueur. Une décision lourde de conséquences, puisqu’elle entraîne une diminution de la cagnotte, pouvant atteindre 100 000 €, et déclenche une malédiction affectant l’ensemble des candidats. Au sein du casting, une particularité. Si certains disposent d'une communauté large sur les réseaux sociaux, dont Elena Faliez, mannequin parisienne de 30 ans dans le top 15 de l'élection de Miss France 2024, Bruno Hourcade est la seule personnalité. Et des concurrents l'ont reconnu. "Elena me reconnaît dès mon arrivée dans la grotte où nous avons tourné, se souvient Bruno Hourcade, auprès de Télé-Loisirs. Brigitte (retraitée de 72 ans installée en Charente-Maritime, ndlr.) m'a dit après qu'elle m'avait tout de suite reconnu aussi."
De quoi déstabiliser le joueur comme il l'assume : "Pour un jeu de stratégie, les autres peuvent se dire que je suis fort sur certaines épreuves et je me suis demandé si ce n'était pas un désavantage. Moi qui voulais me la jouer discret…" Mais il l'assure, ça n'a en rien gâché son aventure !
Découvrez en images : Pandore : voici tous les candidats au casting du nouveau jeu de M6
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C’est une chance, non, de me présenter ici. Une grande chance. Parce que tout au long de ma carrière, j’ai réussi, la plupart du temps, à répondre à un de mes grands besoins : certes voyager, beaucoup, mais surtout parler de télé, de séries, de films, en faire mon quotidien. Et, de ce fait, en voir encore plus. Toujours plus. Je n’ai pas attendu les replays et les plateformes pour me gaver de créations en tout genre, je me souviens des soirées et nuits devant Téva, Série Club et RTL9. Des matins devant TF1, France 3, des après-midi sur M6 : du Club Dorothée à C’est pas sorcier, des Minikeums à M6 Kid. Sans oublier Qui est qui ? à l’année et Intervilles comme Fort Boyard, chaque été. Plus tard, à peine, vinrent Nulle Part Ailleurs et Les enfants de la télé puis On a tout essayé. Et j’ai tout essayé, tout regardé. J’avais la chance aussi d’avoir Canal+ à la maison, j’ai suivi en linéaire chaque jeudi soir dès le début Desperate Housewives. Deux petits épisodes par semaine, l’enfer ! Un enfer que les plateformes s’amusent à nous faire vivre à nouveau ! Mobland sur myCANAL m’a fait vriller : un épisode par semaine… Et rebelotte avec la saison 4 de Morning Show puis la première de Ça : Bienvenue à Derry. Aujourd’hui, j’ai une évidente affection pour HBO Max, pour Netflix, celle qui a tout bousculé, où je trouve des plaisirs pas du tout coupable comme Outer Banks et cet immense kiff gothico-ado de Mercredi, je remercie Disney+ pour l’immersion poussé dans les univers Star Wars mais aussi pour la spectaculaire The Bear, Apple TV+ me stupéfait par la qualité visuelle des objets que l’on y trouve, Severance en tête, et coucou Ted Lasso, Prime casse les codes avec du flux, tout comme Netflix. Non sans délaisser le petit écran, l’originel, la télévision. J’y apprécie toujours autant les magazines de voyages, les talk-shows, les différents formats reportages. Je ne rate jamais non plus Top Chef, Drag Race, Les Rencontres du Papotin et petit plaisir pas du tout coupable non plus, Cauchemar en cuisine, ou quand la télé peut vraiment donner un coup de main. On a tout essayé, oui, et on a tout aimé, voilà, voilà.
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