Demain nous appartient en avance : Le résumé de l'épisode 2100 du lundi 22 décembre 2025

Lundi 22 décembre 2025 dans l'épisode 2100 de Demain nous appartient sur TF1 avec l'arrivée d'un acteur de Nouveau jour sur M6… De bon matin, passée la surprise d'avoir vu débarquer Sofia avec son bébé, Aurore et William sont gagas devant le petit Orso. Mais ils ne peuvent pas s'empêcher non plus de se demander pourquoi elle ne leur a pas annoncé qu'elle attendait un enfant. Ils se posent aussi des questions sur l'identité du père.

Demain nous appartient en avance : Sofia a menti à propos d'Orso !

Face à Aurore et William, Sofia raconte comment elle est devenue maman, révèle qui est le père d'Orso et pourquoi il n'est plus avec elle. Mais elle est rassurante : tout va bien, elle est heureuse. C'est alors qu'Ellie débarque. À l'hôpital, Victoire et Samuel tombent sur William, qu'ils pensaient déjà parti à l'île Maurice. Il leur explique avoir dû annuler suite à l'arrivée de Sofia. Puis, en les faisant un peu mariner, il leur annonce que Sofia est maman ! Au même moment, Ellie et Sofia font connaissance. Mais leur conversation est interrompue par Orso qui se met à pleurer. Sofia semble quelque peu décontenancée, heureusement Ellie trouve vite la raison de ce chagrin : la couche du bébé est pleine. À maison, Samuel retrouve donc Sofia et la bombarde de questions à propos de sa grossesse et de son accouchement. Plus tard, seule avec Samuel au marché de noël, Ellie partage ses doutes : c'est comme si Sofia ne s'y connaissait pas en "enfant". Mais Samuel lui rappelle que Sofia est encore une jeune mère. Au commissariat, Aurore montre des photos d'Orso à ses collègues, qui profitent de sa venue pour boire un verre. Alors qu'Ellie et Kevin discutent, ils sont dérangés par le téléphone de Sofia, qui n'arrête pas de biper. Cette dernière vient le récupérer avant de partir s'isoler.

Le soir venu, Ellie s'installe avec Sofia au bord de la piscine. Alors qu'elles s'apprêtent à écouter de la musique, Sofia est appelée par les pleurs d'Orso. Ellie en profite pour jeter un œil aux messages reçus par Sofia. L'un d'eux est explicite : "Rends-moi mon fils !"

Demain nous appartient en avance : Soizic sauve le week-end de Gloria et Adam

Branle-bas de bas combat pour Alain : un de ses amis s'est blessé et a besoin que quelqu'un tienne son échoppe à sa place aux halles. Il réquisitionne donc Adam, qui accepte bon an mal an, pour l'aider. Au Spoon, Gloria est dégoûtée : elle devait partir en week-end avec Adam. Il ne reste plus qu'à annuler la réservation. Adam le promet : ce n'est que partie remise. Aux halles, Adam semble regretter d'être mobilisé pendant tout le week-end. À l'hôpital, Gloria est dépitée : n'ayant pas pris l'assurance annulation, elle ne va pas pouvoir se faire rembourser son séjour. Soizic en découvre alors la raison : Adam a accepté d'aider son grand-père aux halles ce week-end. Soizic débarque à l'improviste aux halles et demande à essayer le tablier d'Adam. Puis elle lui annonce qu'elle va le remplacer, lui permettant ainsi de partir, comme prévu, avec Gloria.

Demain nous appartient en avance : Benny et Marguerite s'avouent leurs sentiments

Au marché de noël, Benny tire la tronche. Ayant appris que Marguerite allait bientôt quitter Sète, il ne peut que constater qu'il s'est attaché à elle. Kevin lui conseille de lui offrir un cadeau. Au lycée, Marguerite a déjà commencé son cours lorsque Kevin arrive enfin. Il justifie son retard par le fait qu'il a acheté des petites choses à manger et à boire pour fêter son départ. Les autres élèves apprennent ainsi que Marguerite, leur prof préférée, ne sera pas là à la rentrée.

Marguerite décide alors de ne pas poursuivre le cours et de fêter ça. Chez Audrey et Martin, un dîner est organisé pour le départ de Marguerite. Pour l'occasion, elle a invité quelqu'un de spécial pour elle : Benny ! Peu après, il lui offre deux boules de neige miniatures de Sète. Puis il lui explique la signification : il a les boules qu'elle parte. Marguerite lui avoue qu'elle ne l'oubliera pas non plus. Ils s'embrassent.

Par Thomas Destouches

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