A son retour du Conseil européen, où les Vingt-Sept ont décidé d’un prêt européen à l’Ukraine de 90 milliards d’euros, le président de la République a salué une avancée « pour l’Ukraine et [la] sécurité collective » européenne.
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Les Etats-Unis ne peuvent pas imposer un accord à l’Ukraine ou à la Russie, affirme Marco Rubio
Alors que de nouvelles « consultations » visant à mettre fin à la guerre avec la Russie s’ouvrent vendredi aux Etats-Unis, ces derniers essayent de comprendre « ce que l’Ukraine peut accepter et ce que la Russie peut accepter », a fait valoir le chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio, lors d’une conférence de presse à Washington, vendredi. Le but de Washington étant de « voir si [les Etats-Unis] peuvent d’une manière ou d’une autre rapprocher [les deux positions] pour parvenir à un accord ».
« Seul un règlement négocié nous donne la possibilité de mettre fin à cette guerre », a estimé M. Rubio, ajoutant : « nous ne voyons aucune des parties belligérantes capituler dans un avenir proche ».
« En fin de compte, c’est à eux de conclure un accord. Nous ne pouvons pas forcer l’Ukraine à conclure un accord. Nous ne pouvons pas forcer la Russie à conclure un accord. Il faut qu’ils le veuillent », a insisté M. Rubio.
Bonjour,
Les discussions ont été difficiles. Mais les Vingt-Sept ont finalement décidé, à l’unanimité, d’emprunter ensemble, avec la garantie du budget de l’Union européenne (UE). Les « frugaux », Allemagne en tête, qui ne voulaient pas en entendre parler, s’y sont résolus. Quant à la Hongrie, la Slovaquie et la République tchèque, qui refusent de continuer à aider l’Ukraine, elles ont obtenu de ne pas participer au remboursement du prêt. In fine, seulement vingt-quatre Etats membres se sont engagés derrière Kiev.
« Les Slovaques, les Tchèques et les Hongrois ont fait front commun. C’est encourageant. Nous allons poursuivre notre coopération », s’est félicité le premier ministre hongrois, regrettant « la stratégie de guerre » des Européens.
Vous pouvez retrouver plus de détails sur les coulisses de ce prêt à taux zéro dans cet article :
Bonjour,
Si, l’une des questions auxquelles le président russe a répondu lors de sa conférence de presse annuelle portait bien sur la frappe du service de sécurité d’Ukraine qui a endommagé, selon une source proche de l’unité spéciale à l’Agence France-Presse, un pétrolier de la flotte fantôme russe en Méditerranée.
« Cette mesure vise, entre autres, un objectif pragmatique : augmenter les primes d’assurance. Mais cela n’aura jamais le résultat escompté, ne perturbera pas l’approvisionnement et ne fera que créer une menace supplémentaire », a-t-il assuré. « Une réponse de notre pays suivra. »
A la fin de novembre et au début de décembre, l’Ukraine a frappé à plusieurs reprises avec des drones ou missiles des navires pétroliers liés à la Russie dans les eaux de la mer Noire, les forçant à rester dans sa partie orientale pour y échapper.
Le prêt européen à l’Ukraine est « un investissement pour notre propre sécurité », assure Emmanuel Macron
Emmanuel Macron, lors d’un sommet des dirigeants de l’Union européenne, à Bruxelles, le 19 décembre 2025. A son retour du Conseil européen, où les Vingt-Sept ont décidé d’un prêt européen à l’Ukraine de 90 milliards d’euros, le président de la République a salué sur le réseau social X une avancée « pour l’Ukraine et [la] sécurité collective » européenne.
« Ces eurobonds sont une avancée majeure qui donne de la visibilité et de la cohérence à notre soutien. Cette solution va garantir que l’Ukraine dispose des moyens dont elle a besoin pour financer son effort de guerre », a-t-il fait valoir. « Ce prêt est aussi un investissement pour notre propre sécurité, car c’est toute l’Europe que l’Ukraine défend sur le front », a ajouté le chef de l’Etat.
Retrouvez ici les temps forts de la conférence de presse annuelle de Vladimir Poutine :
Sur Le Monde aujourd’hui
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Volodymyr Zelensky salue le « signal envoyé aux Russes » par le prêt européen à l’Ukraine et y voit une « victoire importante »
« La décision des dirigeants de l’Union européenne d’accorder un prêt sans intérêts de 90 milliards d’euros à l’Ukraine est une victoire importante pour nous », a déclaré le président ukrainien sur Telegram. « Sans ces fonds, la situation était très difficile pour nous », a-t-il ajouté.
Les Vingt-Sept ont en effet décidé, jeudi, d’accorder à Kiev un emprunt en commun de 90 milliards d’euros, à taux zéro, mais sans recourir aux avoirs russes, faute d’accord sur la question.
« Il n’y a pas de résultats positifs dans la guerre, mais, pour aujourd’hui, c’est un signal positif important pour notre société et un signal fort pour l’ennemi », a encore fait valoir M. Zelensky. « C’est un signal envoyé aux Russes pour leur faire comprendre qu’il est inutile de continuer à se battre, car nous bénéficions d’un soutien financier et que, par conséquent, nous ne faiblirons pas sur le front. »
L’Ukraine confirme la tenue de nouveaux pourparlers américano-ukrainiens vendredi aux Etats-Unis, en présence des Européens
« Nous entamerons une nouvelle série de consultations avec la partie américaine. A l’invitation de cette dernière, nos partenaires européens participent également à ce format », a fait savoir Rustem Umerov, le principal négociateur de Kiev, sur X, ajoutant que l’équipe ukrainienne se trouve dans « un esprit constructif ».
Volodymyr Zelensky avait déjà évoqué ces nouvelles discussions jeudi, annonçant que la délégation ukrainienne était en route.
Ce qu’il faut retenir de la conférence de presse annuelle de Vladimir Poutine
- « La balle est dans le camp » de l’Ukraine et de ses alliés européens, a estimé Vladimir Poutine, évoquant les négociations sur le règlement du conflit, auquel il a consacré une bonne part de sa grande conférence de presse annuelle.
- Le président russe s’est d’abord félicité des gains territoriaux obtenus par ses forces dans l’est de l’Ukraine, assurant qu’elles « avancent sur toute la ligne de contact » et que les Ukrainiens « reculent dans toutes les secteurs ».
- « Nous ne nous considérons pas responsables de la mort des gens, parce que nous n’avons pas commencé cette guerre », a-t-il à nouveau prétendu, l’imputant à Kiev et ses alliés.
- Prié de dire s’il y aurait de « nouvelles opérations militaires spéciales », le nom donné par la Russie à son intervention en Ukraine, M. Poutine a répondu : « Il n’y aura aucune opération si vous nous traitez avec respect et respectez nos intérêts. »
- Le chef de l’Etat, qui conteste la légitimité de Volodymyr Zelensky dont le mandat devait s’achever en 2024, s’est dit prêt à envisager une suspension des frappes en profondeur en Ukraine le jour du vote, si des élections y sont organisées.
- M. Poutine a par ailleurs mis en garde les Européens contre des « conséquences très lourdes » qu’aurait la saisie des avoirs russes gelés pour aider l’Ukraine, évoquant mesures de représailles et recours en justice.
- Affirmant « ne rien savoir » du chercheur français Laurent Vinatier, détenu en Russie depuis juin 2024, il a promis de « se renseigner » et de « faire tout [son] possible » pour « résoudre cette question de manière positive (…) si la loi russe le permet ».
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Le président polonais taxe les Ukrainiens d’ingratitude, en présence de Volodymyr Zelensky
« Les Polonais ont le sentiment (…) que notre effort, l’aide multiforme apportée à l’Ukraine depuis le début de l’invasion à grande échelle n’ont pas été dûment appréciés ni compris », a déclaré Karol Nawrocki, au cours d’une conférence de presse avec son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky.
« C’est ce que j’ai exprimé lors d’une conversation ferme, honnête, mais très cordiale et empreinte de courtoisie avec le président Zelensky », a poursuivi le président polonais. « L’Ukraine a toujours été reconnaissante envers la Pologne et le restera », a rétorqué l’intéressé, assurant que l’Ukraine « défendait l’Europe » au prix de pertes très élevées.
« La Russie veut la discorde, veut détruire une alliance très solide − l’alliance de deux nations, [forgée] au fil de nombreuses générations. Nous ne la laisserons pas faire », a-t-il ajouté.
M. Nawrocki n’a pas dit clairement ce qu’il attendait de Kiev, mais cet historien de formation issu du camp nationaliste exige une meilleure coopération dans le dossier très sensible des massacres de quelque 100 000 Polonais en Volhynie, entre 1943 et 1945.
Selon M. Nawrocki, qui les qualifie de « génocide », Kiev ne veut pas reconnaître sa responsabilité dans ces massacres commis par les nationalistes ukrainiens. Varsovie lui reproche également de faire traîner les exhumations.
L’épave d’un drone découverte en Turquie
L’épave d’un drone a été retrouvée vendredi dans le nord-ouest de la Turquie, rapportent les médias locaux. Le ministère de la défense turc avait annoncé, lundi, qu’un drone « hors de contrôle » approchant de l’espace aérien national par la mer Noire, avait été abattu.
Selon l’agence de presse privée DHA, l’épave a été retrouvée près d’Izmit, à l’ouest d’Istanbul et à 30 kilomètres des côtes de la mer Noire, face à l’Ukraine et à la Crimée annexée par la Russie en 2014. D’après plusieurs experts, qui en diffusent des images sur X, il s’agit d’un drone militaire russe Orlan 10.
La conférence de presse annuelle du président russe est terminée
Vladimir Poutine a répondu aux questions des journalistes et de ses concitoyens pendant près de quatre heures et demie.
Vladimir Poutine envisage de suspendre les bombardements si des élections sont organisées en Ukraine
La Russie est prête à envisager une suspension de ses frappes en profondeur en Ukraine le jour du vote, si des élections y sont organisées, a déclaré Vladimir Poutine. Le gouvernement ukrainien doit devenir légitime, ce qui est impossible sans élections, a-t-il ajouté, selon l’agence de presse russe TASS.
Le chef de la diplomatie russe fustige la proposition européenne de force multinationale en Ukraine
Sergueï Lavrov a fustigé vendredi la proposition européenne de déployer une force multinationale en Ukraine pour garantir sa sécurité dans le cadre d’un règlement du conflit.
« Il ne s’agit pas tant de sécurité que d’une nouvelle tentative impudente (…), insolente, de mettre en œuvre un contrôle militaire du territoire ukrainien afin d’en faire un tremplin pour menacer la Russie », a déclaré le ministre des affaires étrangères russe, lors d’une visite au Caire.
Le président russe est ouvert au contact « avec des gens polis », dit son ministre des affaires étrangères, réagissant aux propos d’Emmanuel Macron
« Je ne commenterai même pas la déclaration d’[Emmanuel] Macron selon laquelle il est nécessaire de dialoguer avec la Russie », a déclaré le ministre des affaires étrangères russe, Sergueï Lavrov, réagissant aux propos tenus quelques heures plus tôt par le président de la République.
« Lisez ce qu’il a dit ces derniers mois, à commencer par le fait que le seul méchant dans toute cette histoire, c’est (…) le président [Vladimir] Poutine. S’il est disposé à dialoguer, notre président a souligné à plusieurs reprises qu’il est toujours ouvert au contact, à condition que ce soit avec des gens polis qui font preuve d’un minimum de décence », a-t-il ajouté, selon l’agence de presse russe TASS.
Vladimir Poutine promet de se pencher sur le cas du Français Laurent Vinatier, emprisonné en Russie
Le président russe a affirmé « ne rien savoir » du chercheur français Laurent Vinatier, détenu en Russie depuis juin 2024 et qui pourrait être jugé pour espionnage, mais a promis de « se renseigner » et de « faire tout [son] possible » pour « résoudre cette question de manière positive ».
« Si la loi russe le permet, nous ferons tout notre possible », a-t-il ajouté.
Laurent Vinatier a été condamné en octobre 2024 à trois ans de prison pour ne pas s’être déclaré en tant qu’« agent de l’étranger », alors qu’il collectait des « informations militaires » susceptibles de nuire à la sécurité de la Russie, selon la justice. Il a comparu en août pour des accusations d’« espionnage » qui pourraient lui valoir une condamnation beaucoup plus lourde.
Spécialiste de l’espace postsoviétique, ce chercheur français était employé depuis huit ans par le Centre pour le dialogue humanitaire, une ONG suisse experte en médiation dans des conflits hors des circuits diplomatiques officiels, notamment s’agissant de l’Ukraine.
Vladimir Poutine : la Russie n’attaquera personne si elle est « traitée avec respect »
Prié de dire s’il y aurait « de nouvelles “opérations militaires spéciales” », nom que la Russie donne à son offensive en Ukraine, Vladimir Poutine a répondu : « Il n’y aura aucune opération si vous nous traitez avec respect et respectez nos intérêts. »
Si l’Ukraine est défaite, la Russie s’en prendra « inévitablement » à la Pologne, assure Volodymyr Zelensky, à Varsovie
« Sans l’indépendance de l’Ukraine, de notre Etat, Moscou viendra inévitablement ici et plus profondément en Europe », a déclaré le président ukrainien, lors d’une conférence de presse avec son homologue polonais, Karol Nawrocki, à Varsovie.
Le service de sécurité d’Ukraine dit avoir endommagé un pétrolier de la flotte fantôme russe en Méditerranée
Le service de sécurité d’Ukraine (SBU) a touché pour la première fois un pétrolier de la flotte fantôme russe « dans les eaux neutres » de la Méditerranée, selon une source proche de l’unité spéciale citée par plusieurs médias ukrainiens et l’Agence France-Presse (AFP).
« La Russie a utilisé ce pétrolier pour contourner les sanctions et obtenir des fonds destinés à financer la guerre contre l’Ukraine. Par conséquent, au regard du droit international et des lois et coutumes de la guerre, il s’agit d’une cible parfaitement légitime pour le SBU », a-t-on déclaré à RBK-Ukraine, assurant que le navire nommé Qendil avait subi des dégâts irréversibles.
Selon la même source, le pétrolier était vide et l’« opération spéciale sans précédent », menée à 2 000 kilomètres de l’Ukraine, ne présentait aucun risque pour l’environnement.
Battant pavillon d’Oman, il est parti de Sikka, en Inde, à destination d’Oust-Louga, en Russie, selon ses données de navigation de l’agence Bloomberg. Son tracé, cohérent avec des images satellites consultées par l’AFP, montre qu’il a fait demi-tour dans la nuit de jeudi à vendredi, alors qu’il se trouvait à plus de 250 kilomètres au large des côtes grecques et libyennes.
Capture d’écran de la position du navire « Qendil » sur le site Marine Traffic.
Capture d’écran de la position du navire « Qendil » sur le site Marine Traffic. « La balle est dans le camp » de l’Ukraine et des Occidentaux, juge Vladimir Poutine
« La balle est entièrement dans le camp de nos adversaires occidentaux, les dirigeants du régime de Kiev et leurs sponsors européens en premier lieu », a déclaré Vladimir Poutine, évoquant les négociations en cours sur le règlement du conflit, auquel il s’est dit prêt à mettre fin « par des moyens pacifiques ».
« Nous ne nous considérons pas responsables pour la mort des gens, parce que nous n’avons pas commencé cette guerre », a par ailleurs répété le président russe.
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