"J’ai été trahie" : Destituée après sa vidéo polémique lors de Miss France 2026, Aïnhoa Lahitete (Miss Aquitaine) s’exprime pour la première fois

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Par Arthur Hachez

Travaillant chez Télé-Loisirs

Publié le 21/12/2025 à 17:29,

modifié le 21/12/2025 à 17:46

Samedi 20 décembre, Aïnhoa Lahitete, destituée de son titre de Miss Aquitaine 2025 suite à une vidéo polémique contenant des propos injurieux envers les autres candidates, s'est confiée pour la première fois dans Sud Ouest.

Une vidéo qui lui a coûté "trop cher" selon elle. Le 6 décembre 2025, Hinaupoko Devèze était élue Miss France 2026. Trois jours après la cérémonie retransmise sur TF1, deux Miss régionales étaient destituées de leur titre suite à la diffusion d'une vidéo privée publiée sur les réseaux sociaux. Dans celle-ci, on voyait les deux candidates, éliminées après la première étape du concours, critiquer et insulter les douze dernières candidates en lice pour l'écharpe nationale. Le 20 décembre, après que sa camarade Julie Zitouni (ex-Miss Provence) s'est exprimée sur ses réseaux sociaux, Aïnhoa Lahitete (ex-Miss Aquitaine) a choisi de se confier à Sud Ouest.

"Après la diffusion du top 12, j’ai eu la malheureuse idée de prendre mon téléphone dans les coulisses, à chaud. C’était une grosse erreur, que je regrette profondément", explique la jeune femme de 19 ans. "Mais cette vidéo [Snapchat, NDLR] était destinée à un cercle privé et j’ai été trahie. Elle a été envoyée à un groupe de filles qui m’avaient harcelée au lycée et qui l’ont transmise de manière malveillante à un blogueur très connu pour les polémiques", se défend-elle.

"Je ne sais pas ce que je peux faire de plus" : Aïnhoa Lahitete (ex-Miss Aquitaine 2025) a porté plainte pour "cyberharcèlement"

L'ancienne Miss régionale, qui considère son geste comme "très bête", met en avant les conditions de fatigue mentale dans lesquelles elle se trouvait. "On était toutes déçues, après un mois intense, où on ne dort pas beaucoup. Le staff de Miss France nous a dit qu’on pouvait relâcher la pression, on l’a peut-être trop pris à la lettre…", se justifie-t-elle dans le quotidien.

Une fois la vidéo propagée et la destitution actée, les deux candidates ont fait face à un "énorme cyberharcèlement" face auquel Julie Zitouni a porté plainte contre X pour diffamation comme le révélait Le Parisien le 10 décembre dernier, confirmant une information de La Provence. Une décision qu'Aïnhoa Lahitete a également prise, comme elle l'annonce à Sud Ouest.

"On fait tous des erreurs dans la vie, mais je l’ai payée très cher. Trop cher. Je me suis excusée, je m’excuse encore. [...] J’ai été sanctionnée. Je ne sais pas ce que je peux faire de plus", conclut celle qui a confirmé avoir reçu beaucoup de soutien, dont celui d'Angélique Angarni-Filopon (Miss France 2025). Mais aussi celui d'Hinaupoko Devèze (Miss France 2026), qui a lancé un appel au calme en direct la semaine dernière.

Article écrit en collaboration avec 6Medias

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Par Arthur Hachez

Curieux de tout ce qui sort sur petit et grand écran, je m'intéresse au cinéma, aux séries à la télévision et à tout ce qui concerne la culture et le divertissement au sens large.

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